Le Bureau maritime international (BMI) a déclaré : « Depuis le début de l'année, il y a eu 10 attaques, tendance à la baisse attribuée à l'action vitale des navires engagés dans les opérations anti-piraterie, couplée avec le BMI et le recours aux équipes sécuritaires professionnelles à bord ».
« Il est crucial qu'ils restent jusqu'à ce que la situation s' améliore à terre afin que la piraterie ne soit plus une option viable pour les criminels », a déclaré le directeur du BMI, Pottengal Mukundan, dans un communiqué.
Les forces navales continuent de patrouiller cette zone pour collecter des renseignements ou désarmer les navires pirates suspects. Les pirates somaliens sont munis d'armes automatiques et de lance-roquettes RPG et utilisent parfois des skiffs lancés depuis des navires mères, qui peuvent être des navires de pêche détournés, afin de lancer des attaquer loin de la côte somalienne.
Etant donné que la piraterie somalienne est en grande partie un business pour obtenir des rançons, elle dépend fortement du soutien terrestre qui fournit nourriture, eau, essence et le quat (narcotique). Le BMI a appelé tous les capitaines et propriétaires de navires à dénoncer tous les incidents au Centre sur la piraterie du BMI.
