Au cours d'un entretien avec des journalistes, M. Dogo a fait état de projets qui permettront tout d'abord de susciter la création de 15.000 emplois d'ici à la fin de l'année.
"Les perspectives sont ainsi prometteuses pour les jeunes qui connaissent le chômage ceux en quête de premier emploi", a-t-il énoncé.
Pour Franck Dogo, toutes ces actions s'inscrivent dans la vision du chef de l'Etat ivoirien de créer 200.000 emplois par an.
"Le FNS s'attèle à favoriser l'accès au financement pour les jeunes promoteurs et pour les entreprises créatrices d'emplois", a assuré le directeur général, plaidant pour l'émergence de jeunes Ivoiriens qui ont l'ambition d'entreprendre.
"Nous sommes disposés à les soutenir en mettant l'accent sur les actions collectives", a-t-il toutefois précisé.
A en croire celui-ci, les projets collectifs sont "fortement" pourvoyeurs d'emplois et peuvent profiter à un plus grand nombre de jeunes.
"Nous attendons des projets viables", a-t-il dit, soulignant que tous les secteurs d'activité sont concernés.
L'insertion de la jeunesse dans le tissu socio-économique constitue l'un des axes prioritaires de l'équipe gouvernementale ivoirienne, le chômage constituant un mal qui frappe quelque quatre millions de jeunes dans le pays.
Dans son programme de gouvernement, le président ivoirien Alassane Ouattara avait promis de résorber le fléau par la création d'un million d'emplois durant ses cinq ans de mandat, soit 200.000 emplois chaque année au profit des jeunes.
