Sur le même sujet
Les otages algériens de Gao sont toujours entre les mains de leurs ravisseurs
NOUAKCHOTT – Les sept diplomates algériens, enlevés à Gao dans le nord du Mali, sont toujours entre les mains de leurs ravisseurs, a affirmé une source proche du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), qui a revendiqué le rapt des diplomates algériens. Le Mujao a affirmé, au cours d'un contact téléphonique, que les sept algériens "n'ont pas été libérés et sont encore entre les mains de leurs ravisseurs". Leur libération avait été annoncée plus tôt dimanche dans l'édition en ligne du journal algérien El Watan. Mais, cette information n'a pas été confirmée de source officielle algérienne.
Guinée : une grève continue de paralyser les activités de l'Usine d'alumine de Friguia
CONAKRY – Les employés de l'usine d'alumine de Friguia, située à une centaine de kilomètres de la capitale guinéenne, Conakry, seraient déterminés à poursuivre leur mouvement de grève entamé le mercredi dernier jusqu'à la satisfaction de leurs revendications portant sur l'amélioration de leurs conditions de vie. Ce débrayage dont la durée était prévue pour juste 4 jours pourrait ainsi être reconduit pour une "période illimitée'', selon un responsable qui a requis l'anonymat.
Mali: les Maliens saluent la "sagesse et le patriotisme" d'AmadouToumani Touré et du Capitaine Sanogo
BAMAKO -Le président Amadou Toumani Touré a remis sa démission officielle au médiateur Djibril Bassolé, ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso, une décision accueillie par le public malien. "Le président Amadou Toumani Touré et le capitaine Amadou Haya Sanogo viennent de prouver leur maturité politique et de donner une leçon de patriotisme à l'ensemble du peuple malien. Nous espérons que la classe politique et la société civile maliennes vont s'en inspirer dans les prochains jours pour faciliter la mise en place des organes de transition", souligne Kader Toé, un chroniqueur politique.
Kofi Annan condamne la recrudescence de la violence en Syrie
GENEVE – L'émissaire des Nations Unies et de la Ligue arabe Kofi Annan a condamné la recrudescence de la violence dans plusieurs villes et villages de Syrie, des violences qui "vont à l'encontre des garanties" qui lui avaient été données. "Alors que nous nous rapprochons de la date butoir du mardi 10 avril, je tiens à rappeler au gouvernement syrien la nécessité d'honorer intégralement ses engagements, et je réaffirme que l'actuelle escalade de la violence est inacceptable", a déclaré M. Annan.