"Pour cela, nous sommes en train de mener une grande campagne de plaidoyer en direction des bailleurs de fonds du monde entier pour les convaincre que le Mali est aujourd'hui l'une des meilleures destinations pour les investissements", a-t-il déclaré.
M. Bittar a tenu ces propos à l'ouverture de la session 2011 de l'Assemblée consulaire de la CCIM, qui se tient du 21 au 22 décembre au Centre international des conférences de Bamako.
De l'avis du président de la CCIM, pour prétendre à un développement économique durable, il faut un secteur privé dynamique capable de générer des emplois et d'aider les couches pauvres à s'extraire de la pauvreté.
"Tel est le cas au Mali et cela grâce notamment aux efforts inlassables de la CCIM, souvent contre vents et marrées. Nous croyons en notre secteur privé, en son devenir, et en son avenir", a-t-il ajouté.
Selon ses membres, au sortir des assises de cette Assemblée consulaire, la CCIM devra se sentir plus forte que jamais, afin d'accomplir, dans une dynamique unitaire, ses missions d'organisation, de représentation et d'encadrement du secteur privé dans toutes ses composantes.
A noter que toutes les actions de la CCIM n'ont qu'un seul but qui est de favoriser la compétitivité des entreprises et le dynamisme des régions, relayer leurs préoccupations tout en les accompagnant dans leur développement, former des hommes et des femmes aux compétences adaptées aux besoins des entreprises et intervenir à tous les niveaux des débats économiques, tout en exprimant les points de vue des entreprises, a-t-on appris à l'ouverture de cette session.
