La ville de Bissau paralysée par une grève des transports publics

Afriquinfos Editeur
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Le Syndicat des chauffeurs de taxis et véhicules de transport a déclenché ce mouvement pour amener les autorités à réduire les frais et taxes pour une autorisation de circuler, a indiqué le président du syndicat, Ibrahima Sané.

Selon lui, ces frais et taxes sont exorbitants: 75.000 FCFA par semestre et 26.000 francs pour le fonds routier.

Le syndicat se plaint par ailleurs de la cherté des amendes en cas d'infraction: 25.000 FCFA, alors qu'au Sénégal, on paie seulement 3.000 FCFA.

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"Il faut aussi que les tracasseries policières cessent avec notamment la réduction drastique des barrages routiers", a demandé M. Sané avant d'ajouter que les chauffeurs exigent un guichet unique de paiement des taxes.