M. Arabi a rejété également une intervention étrangère dans cette affaires, qui, selon lui, revient à la souveraineté de l'Egypte, soulignant que seuls les Egyptiens peuvent décider de leur avenir par les élections libres et intégrantes.
Il a dit qu'une nouvelle Constitution devrait être rédigée avant la tenue de la présidentielle pour définir les moyens d'élire le président et les pouvoirs du président.
Selon des journaux égyptiens, les Frères musulmans, les généraux du Conseil militaire au pouvoir et les partis libéraux auraient accepté de choisir Arabi pour l'élection présidentielle.