Tunisie: défis politiques et économiques de la prochaine étape

Afriquinfos Editeur
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Ces défis "sont les priorités les plus pressantes du prochain gouvernement" en Tunisie, a-t-elle déclaré lundi lors d'une conférence de presse.

Selon Mme Bouchamaoui, mettre l'économie tunisienne sur les rails de la croissance, de l'ouverture et du positionnement à l'international, est tributaire de la réforme des systèmes de formation, d'éducation, des finances et de la fiscalité.

La pression de l'emploi, a-t-elle rappelé, ainsi que les revendications sociales et le fléchissement des investissements demeurent des facteurs qui ont sensiblement touché aux marges de manœuvre des entreprises tunisiennes.

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Mme Wafa Sayadi, présidente du Centre des jeunes dirigeants d'entreprises (CJD), a mis en avant la mise en place d'un modèle de transition démocratique et de développement économique propre à la Tunisie, qui devrait favoriser la création de richesses, la stimulation des investissements, la création d'emplois, le développement régional et la cohésion sociale.

Il s'agit également, selon la présidente du CJD, de consolider le concept de l'entreprise citoyenne, d'instaurer un cadre législatif approprié pour l'investissement, de rassurer les investisseurs tunisiens et étrangers, de limiter l'intervention de l'Etat et de mettre en place l'édifice d'une justice transitionnelle transparente, impartiale et équitable.