Elle a souligné que la Tunisie doit relever ce premier défi de l'emploi à travers l'impulsion de l'investissement privé, la mise en place de nouvelles incitations financières pour les jeunes promoteurs, outre l'adoption d'une réforme adéquate du secteur éducatif.
Elle a toutefois insisté que "la corruption constitue aussi un fléau que la Tunisie doit éradiquer".
La Tunisie doit en parallèle, a-t-elle ajouté, stimuler le secteur de l'innovation technologique, de nature à consolider la compétitivité des entreprises tunisiennes sur le marché local et international.
Evoquant les efforts fournis par la Tunisie sur la voie de transition démocratique et le rôle majeur que peuvent jouer les ONG et les organisations internationales, Mme Murray a rappelé que la Banque mondiale a accordé à la Tunisie une ligne de crédit de 50 millions de dollars au titre de 2011.
Cette enveloppe a été dédiée au renforcement de l'accès au financement des petites et moyennes entreprises (PME) tunisiennes et à promouvoir et préserver les emplois, notamment dans les régions défavorisées.
