L'accord de cession reste soumis à l'approbation des autorités du Nigéria, souligne le communiqué de la société française. Par ailleurs, le bloc OML 138 en question comprend le champ d'Usan dont l'exploitation a débuté en février dernier.
"Usan représente moins de 10% de la production du groupe au Nigéria", a précisé un responsable du géant énergétique français, expliquant que la cession de cet actif, qui correspond à une faible participation dans le champ d'hydrocarbures exploité, devrait permettre à Total "d'allouer (ses) ressources à des opportunités de croissance plus significatives".
C'est la Nigerian National Petroleum Corporation (NNPC) qui est le concessionnaire du bloc OML 138, concerné par la cession de participation. Le Nigéria est le premier pays producteur de pétrole du continent africain et figure parmi les principaux Etats exportateurs d'or noir du monde.