Le constat est partagé par plus d’un à Lomé (la capitale togolaise) et est également valable pour les dernières demeures qu’abritent d’autres cités phares du Togo. Les cimetières publics sont des parents pauvres des maigres efforts déployés par les municipalités togolaises pour offrir un meilleur cadre de vie à leurs administrés.
Les photos accompagnant le présent article témoignent de l’important chantier qui demeure à ouvrir par la municipalité pour redonner un nouveau visage aux dernières demeures des Togolais défunts.
Ce sujet de la détérioration avancée du cadre général (interne et externe) des cimetières publics togolais est très peu évoqué dans les médias locaux, et la mairie de Lomé n’a pas de position claire sur ce chantier, en terme d’une planification quelconque à opérer pour remédier à ce mal.
(Par Edem Gadegbeku)
Afriquinfos
