La STT estime que le gouvernement peine à se prononcer sur sa plateforme de revendications en 8 points qui reprend des revendications déjà faisant l'objet de discussions entre le gouvernement et les six centrales syndicales du pays.
Cette deuxième grève intervient quelques jours après celle de deux jours les 4 et 5 avril dernier que la STT a indiquée avoir été très suivie dans la fonction publique notamment dans le secteur de la santé et de l'enseignement.
La veille de cette deuxième grève, le gouvernement s'est déclaré "surpris" du rebondissement de la STT à un moment où les propositions sont en train d'être examinées pour trouver une solution idoine et consensuelle.
Il a alors rappelé que le droit de grève est permis mais que ce droit reste réglementé, ajoutant que toutes les dispositions seront prises pour permettre aux fonctionnaires de vaquer à leurs occupations.
