Selon le vice-président de l'Assemblée nationale, Klassou Selom, il s'agit d'une fusion pour une structure unique Douanes-Impôts "appelée réforme fiscale de deuxième génération".
Il a fait état d'une démarche focalisé sur une amélioration "sensible" des recettes fiscales et douanières nécessaires à une poussée de la demande sociale à la quelle le gouvernement togolais est confronté.
Les deux directions concernées sont considérées comme des régies stratégiques de l'économie togolaise et contribuent pour une importante partie au budget de l'Etat.
Pour la loi de finances gestion 2012, il a été fait obligation à la Direction générale des impôts (DGI) de faire une contribution au montant de 132,75 milliards de francs Cfa, contre 125,1 milliards de francs Cfa au budget de 2011.
L'initiative du gouvernement de fusionner les deux régies a obtenu l'adhésion du Fond monétaire international (FMI) qui entend apporter son assistance technique aux autorités togolaises dans ce domaine.