Agence congolaise de presse (ACP)
La Société commerciale des Transports et des Ports (SCTP, ex ONATRA) vient d'installer un système de sécurité intégré dans ses installations du Beach Ngobila qui constitue, avec l'aéroport international de Ndjili, les deux portes d'entrée et de sortie en RDC, par Kinshasa. Selon l'inspecteur général chef du corps de la police et pompiers de la SCTP, Langa Ntangu, abordé dimanche par l'ACP, l'installation de ce système permet à ce poste frontalier de fonctionner selon les normes internationales. Elle a été réalisée à l'initiative de l' administrateur directeur général a.i. de la SCTP, Umba Tito di Malanda. M. Langa Ntangu, également conseiller spécial de l'ADG a.i. en matière de protection du patrimoine, des biens et des personnes pour l'ensemble des installations fixes et mobiles de la SCTP et de leurs dépendants, a indiqué que ce système est conforme aux exigences de sûreté contenues dans le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires (ISPS), édicté par l'Organisation Maritime Internationale(OMI) depuis 2002, en vue de rehausser les capacités protectrices des installations portuaires commises au trafic international, susceptibles d'être l'objet de menaces terroristes.
L'Observateur
Donc, à partir du 1er janvier 2013, ces cinq nouveaux membres siégeront pour un mandat de deux ans en remplacement de l'Afrique du Sud, de l'Allemagne, de la Colombie, de l'Inde et du Portugal. Juste avant le début des opérations de vote, qui se font à la main et à bulletins secrets, la République démocratique du Congo (RDC) a soulevé sans succès une objection, affirmant que le Rwanda n'était pas digne de siéger au Conseil en raison de son "rôle déstabilisateur en RDC". "En plus de son rôle déstabilisateur de la RDC, le Rwanda constitue aujourd'hui l'oasis de paix pour tous les criminels de guerre qui opèrent dans la partie orientale de la RDC et qui sont recherchés par la justice internationale. A ce titre, ma délégation fait objection à l'entrée du Rwanda au Conseil de sécurité", a déclaré l'ambassadeur de la RDC auprès des Nations unies, Charlotte Omoy Malenga. Comme pour se moquer de la RDC, après le vote, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a commenté l'élection de son pays. «Nous comptons mettre en avant notre modeste expérience et nos idées pour promouvoir la stabilité dans cette région", a-t-elle promis. Et d'ajouter que la tentative de blocage du scrutin par la RDC n'était qu'un "geste de frustration".
Le site web du journal la Prospérité
Dans une déclaration lue par son président en exercice pour le mois d'octobre, le Guatémaltèque Gert Rosentahl, le Conseil de sécurité des Nations Unies condamne le 23 et exige la fin du soutien extérieur apporté à ce groupe armé, sans cependant citer nommément, le Rwanda. Le Conseil de sécurité spécialement sur l'urgence qu'il y a à engager des contacts et un dialogue constructifs entre la RDC et les voisins ,notamment le Rwanda. Dans l'entretemps, ce dernier est gratifié, en obtenant un siège de membre non permanent du Conseil de sécurité et ce, pour un mandant de deux ans. Son ambassadeur à l'ONU, M. Olivier en profite pour narguer tout le monde, en déclarant pompeusement que "les membres de l'Assemblée générale savent très bien quel est notre bilan et ne peuvent pas être dissuadés ou influencés par un rapport sans fondement, qui n'a aucune crédibilité". Quand à la RDC, soutien sa diplomatie accréditée au Palais des verres à New York, Mme Charlotte Omoy Malenga, le Rwanda n'est aucunement digne de siéger au sein du Conseil de sécurité de l'ONU, au regard de son rôle déstabilisateur dans l'est du territoire congolais.