L’UE n’enverra pas d’observateurs en Algérie pour la présidentielle du 17 avril

Afriquinfos Editeur
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Citant l'agence espagnole Europa Press, le site TSA a indiqué que la raison de ce refus est motivée par l'invitation tardive lancée par les autorités algériennes en direction de Bruxelles.

Cependant, deux experts seront dépêchés pour réaliser "une évaluation technique" du processus électoral, conformément aux recommandations de la précédente mission européenne, laquelle a séjourné en Algérie à l'occasion des élections législatives de 2012.

Ces experts ne feront pas de déclarations publiques sur leur évaluation des élections, ajoute la même source qui explique que l'UE reste attachée au déroulement d'un processus électoral  "juste et transparent" en Algérie.

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Des centaines d'observateurs internationaux sont attendus en Algérie pour superviser ce scrutin. Il s'agit des Nations Unies, de l'Union africaine, de la Ligue Arabe et de l'Organisation de la coopération islamique.

     Pour l'échéance du 17 avril prochain, six candidats, dont le président sortant Abdelaziz Bouteflika et un de ses anciens chefs du gouvernement Ali Benflis (août 2000 –mai 2003) sont entrés en campagne électorale depuis le 23 mars et ce jusqu'au 13 avril.