L’enlèvement est un crime, dit le président Issoufou

Afriquinfos Editeur
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Six personnes travaillant pour l'ONG nigérienne "Bien-être de la Femme et de l'Enfant Nigérien (BEFEN)" ont été enlevées dans la nuit du 14 au 15 octobre par des hommes armés, dans le département de Dakoro (centre), venus à bord de deux véhicules de marque " TOYOTA 4X4".

"Notre position est claire, nous assumerons toutes nos responsabilités. Et notre peuple doit apporter tout le soutien nécessaire aux forces de défense et de sécurité chargées de la défense sur la sécurité du territoire national", a indiqué le chef de l'Etat nigérien.

Pour Mahmadou Issoufou, "notre peuple doit connaître sans ambiguïté le visage de l'ennemie ; celui-là qui déshonore notre religion, en violant, en volant, en s'adonnant au trafic de drogues. L'ennemie c'est celui qui vit de l'industrie des otages".

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"Notre peuple doit se mobiliser comme un seul homme pour traquer ces bandits, ces mécréants, sans foi ni loi", a-t-il martelé.

Les forces de défense et de sécurités ratissent depuis toute cette zone, frontalière du nord Mali, pour retrouver les personnes portées disparues et arrêter les auteurs.