Les habitants de Gwange où une bombe soupçonnée d'avoir été placée sur une autoroute par la secte Boko Haram a explosé et a tué un lieutenant et blessé deux soldats, ont déclaré que les soldats ont riposté tuant de nombreuses personnes et ont incendié plus d'une centaine de maisons, selon les rapports des médias.
Néanmoins, un communiqué de la Force opérationnelle interarmées publié par son porte-parole le lieutenant-colonel Moussa Sagir a déclaré mardi qu'aucun civil ou ni membre de la secte Boko Haram a été tué.
La Force opérationnelle interarmées a déclaré que l'incendie causée par l'explosion s'est propagé dans le quartier et a brûlé de nombreuses maisons.
