Les trois membres de cette équipe ont décidé d'organiser une réunion des pays membres, qui a rassemblé les participants du Zimbabwe, de la Namibie, du Mozambique, du Maroc et du Lesotho et d'autres, selon la radio d'Etat.
L'objectif de la visite de l'équipe de l'AIEA est d'évaluer la faisabilité des projets proposés sur le financement par les autorités dans les pays membres et la possibilité de l'application de ces projets dans un environnement contrôlé qui assure la sécurité des matières radioactives.
Selon Eric Cole, responsable du Département de la coopération technique de la division africaine de l'AIEA, les technologies basées sur la radiation jouent un rôle important dans les domaines de la médecine et de l'agriculture mais exigent la gestion prudente.
L'AIEA, qui a récemment fourni un accélérateur linéaire au Zimbabwe dans le cadre de traitement contre le cancer, a pour but d'accélérer et d'élargir la contribution de l'énergie atomique à la paix, à la santé et à la prospérité dans le monde entier.
Le Zimbabwe est un membre de l'AIEA depuis 1986 et il utilise les technologies nucléaires et radiologiques dans les domaines de la radiothérapie, de la médecine nucléaire, de la nutrition et des techniques moléculaires dans le diagnostic et le traitement du VIH, du sida, de la tuberculose et du paludisme.
