Selon le directeur de cabinet chargé de la communication au ministère de la Justice, Ibrahima Béavogui, les personnes interpellées seront transférées devant la justice pour être jugées et condamnées en fonction de leurs fautes commises.
Ces personnes détenues dans les locaux du camp de gendarmerie à Conakry seront traitées dans "le strict respect de la loi" tout au long de leur jugement, a-t-il ajouté.
Les auteurs de la tentative d'assassinat de M. Condé risquent 10 à 20 ans de réclusion criminelle.
