M. Cameron a déclaré aux membres du parlement britannique dans un communiqué sur la crise des otages en Algérie que moins de 30 citoyens britanniques étaient "en danger" en Algérie.
Ce nombre a été depuis "très significativement réduit", a poursuivi M. Cameron, mais sans donner plus de détails.
Il a exprimé son "dégoût" et a condamné "l'attaque brutale et sauvage".