A Londres, parmi les 547 personnes accusées de viol ces derniers douze mois, 174 des suspects ne sont pas des citoyens britanniques.
Parmi eux, des immigrés d’Afghanistan, d’Angola, du Ghana, de Macédoine, de Russie, du Zimbabwe et du Chili.
Pour les affaires de meurtres dans la capitale anglaise, sur 197 cas, 40 concernent des immigrés.
En avril dernier, Yonas Beraki âgé de 34 ans originaire d’Erythrée avait fait scandale en tuant son ex-petite amie sur le sol anglais. Il avait été reconduit dans son pays d’origine trois fois avant de revenir au Royaume-Uni et commettre l’irréparable.
Selon les chiffres de la police des frontières, ce sont 4 500 d’étrangers accusés de crimes qui ont été reconduits dans leur pays natal en 2011.