"Cette forte mobilisation marque la confiance de la communauté financière en nos autorités et en la politique de relance économique et de reconstruction de notre pays, c'est un signe de retour progressif à la normalité", s'est félicité Koné Adama.
Pour lui, l'autre leçon à tirer c'est que "la qualité de la signature de l'Etat n'a pas été entamée" malgré la crise post-électorale qui a fait plus de 3 000 morts.
Les titres étaient vendus sur le marché de l'Union économique et monétaire de l'Afrique de l'Ouest (UEMOA) à 10 000 FCFA (15 euros) au taux d'intérêt de 6,5% par an sur la période 2011-2016.
Le taux de souscription institutionnelle culmine à 96 % du montant, contre 3,9 % pour les particuliers.
