« L’atelier est organisé par la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légères et de petit calibre (NatCom) de la Côte d’Ivoire, en coopération avec l’UNREC. Il s’inscrit dans un programme mis en place, après les élections de novembre 2010, par le Gouvernement ivoirien, par le biais de la NatCom, et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) », a appris « Afriquinfos ».
« C’est avec des fonds japonais que l’UNREC a pu aider la NatCom à développer le manuel et à organiser une formation fondée sur les nouveaux modules de gestion des stocks d’armes légères et de petit calibre », ajoutent les organisateurs.
En 2012 et en 2013, grâce cette fois à des fonds australiens, l’UNREC avait déjà aidé « la NatCom à mettre sur pied une formation sur le marquage et le traçage de ces armes et sur les outils internationaux et régionaux de contrôle des armes. Il s’agissait aussi d’évaluer et de réhabiliter quatre sites de stockage de la gendarmerie et d’étudier la question des d’armes légères et de petite calibre détenues par des sociétés privées de sécurité », rappelle cette institution onusienne.
La crise socio-politique qui a secoué la Côte d’Ivoire entre le 19 septembre 2002 et avril 2011 a provoqué la mort d’au moins 3.000 personnes.
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