Au total sept équipes se sont affrontées pendant cette compétition. Tour à tour ces dernières ont présenté leurs projets à un jury formé d’experts en la matière.
«L’Afrique est à la traine des autres continents en terme d’utilisation d’internet et des réseaux sociaux. Analphabétisme numérique, délestages électriques, faiblesse de la bande passante,etc., beaucoup de raisons expliquent ce retard », analyse Philippe Couve, l’un des experts en charge du hackathon ivoirien.
Il sera donc question «d’identifier et d’accompagner des projets qui vont permettre un meilleur accès à l’information dans les pays africains», explique Pierre Jalladeau, directeur Afrique de l’agence française de coopération média CFI, organisatrice du hackathon.
Le CFI, compte organiser d’autres hackathons dans d’autres villes du continent notamment Dakar, Antananarivo, Johannesburg, Douala, ou encore Tunis.
Les lauréats de ces différentes villes s’affronteront lors d’un grand concours panafricain, prévu pour fin novembre doté d’un prix d’une valeur d’un million de dollars.
Larissa AGBENOU
