Les services de protection de la nature (Kenya Wildlife Service, KWS) ont déclaré vendredi que leur « Plan d'action » avait emporté le soutien de la réunion internationale qui vient de s'achever sur le commerce des espèces naturelles en Thaïlande où le comité permanent de la CdP a décidé qu'il serait appliqué puis révisé l'année prochaine.
Le Kenya a reçu un soutien considérable de pays occidentaux à l'approche de la conférence de la CITES en Thaïlande.
Il avait prévu de présenter cinq amendements des traités internationaux de conservation de la nature face à la recrudescence du braconnage d'éléphants et de rhinocéros.
La plus notable de ces propositions, soumise par le Kenya conjointement avec le Burkina Faso, le Togo et le Mali, demandait qu'aucune demande de vente d'ivoire ne soit présentée pendant la durée de vie du moratoire actuel.
Le KWS a indiqué que le comité avait également décidé que si ces projets ne sont pas appliqués de la manière prévue, des sanctions seront prises à l'encontre des pays en infraction à partir de juillet 2014.
