Cinéma : Jacques Audiard sous diverses coutures : Portrait

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Son rêve, c’était de devenir enseignant. Mais une fois arrivé en Faculté de Lettres, le doute s’installe dans la tête du jeune homme. Sa passion du cinéma le rattrape. Il décide  alors d’abandonner ses études.Sous la poussette de son père, Jacques débute dans le cinéma comme monteur. Mais sa passion également pour les lettres va se jumeler à celle du cinéma et va le conduire à la rédaction de scénarios.

Il signe notamment les scripts de « Réveillon chez Bob », « Mortelle Randonnée » de Claude Miller, ou encore « Fréquences Mortelles » d’Elizabeth Rappeneau. En 2001, «Sur mes lèvres» est diffusé sur les écrans. Film basé sur le fond, de l’émotion et par la mise en scène de l’auteur, simple, sans faux-semblants. Portrait de deux marginaux, le métrage navigue entre force et fragilité dans un récit insaisissable. 
 

Plus tard, en 2003 Jacques Audiard est considéré comme le nouveau maître de la réalisation française. Sur ce, un nombre important d'acteurs aspirent à tourner sous son contrôle et de faire parties de ses projets. C’est ainsi que pour la suite, il opte vers le remake de l’un de ses films cultes, «Mélodie pour un tueur» de James Toback, avec Harvey Keitel.

Jacques Audiard est également  un  passionné de musique ; il a réalisé certains clips dont «La nuit je mens» d’Alain Bashung qui a remporté la «Victoire de la musique du meilleur clip» et «Comme elle vient» de Noir Désir.
 

Innocente Nice