Les nouveaux équipements devraient permettre à ces structures de santé, quatre à Ouagadougou, capitale du pays, et deux à Bobo Dioulasso (ouest), d'éviter les effets néfastes des déchets biomédicaux sur la santé humaine et l'environnement.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de la stratégie de lutte contre le VIH/sida et les IST 2011-2015.
Les déchets liés au VIH sont pour la plupart issus des activités de transfusion sanguine, de dépistage, de prise en charge médicale et d'utilisation des préservatifs. L'accumulation des déchets augmente les risques de transmission du VIH.
"La protection de l'environnement en général et l' assainissement du milieu hospitalier en particulier, constituent aujourd'hui un impératif dans l'amélioration des conditions de vie de nos populations", estime le directeur de cabinet du président burkinabè, Topan Mohamed Sané.