Dans une interview accordé à Xinhua vendredi à Freetown, le ministre intérimaire des Affaires étrangères et des Affaires internationales et de la Coopération internationale, Ebun Jusu, a déclaré que la capture et la mort de l'ancien dirigeant de la Libye a résolu «beaucoup de problèmes" parce que "je pense que s'il a été capturé vivant, ils auraient dû le juger et sans doute prolongé la guerre ".
Dans un autre développement, l'imam et gardien d'une mosquée construite par et nommé d'après Mouammar Kadhafi à l'extrémité est de la capitale, Freetown, Cheikh Abdul Sillah Sesay, a décrit la mort de Kadhafi comme «une grande perte pour la communauté musulmane en Sierra Leone».
Il a déclaré à Xinhua qu'ils étaient en "veillée toute la nuit de jeudi" pour pleurer la mort de Kadhafi et continueront à le pleurer.
Les réactions des Sierra-léonais ordinaires sont mixte: certains voyaient en lui un méchant qui a contribué à alimenter la brutale guerre de 10 ans en Sierra Leone, d'autres le louent pour un nombre assistance qu'il a rendu à la Sierra Leone dans les domaines du transport, en offrant des autobus à la communauté de Freetown et de la nourriture aux pauvres.
