Le directeur des services de contrôle des inondations et de l’érosion au sein du ministère fédéral de l'Environnement, Adekunle Oshikoya, a déclaré jeudi à Abuja que cette approche serait utilisée dans le cadre du programme de la Banque mondiale. « Nous tentons de résoudre ce problème de détérioration (de l’environnement) du point de vue du bassin hydrographique », a-t-il dit.
Le directeur a déclaré aux journalistes que les exécutants et parties prenantes de ce projet avaient organisé deux réunions d’évaluation et qu'une troisième était prévue pour début mars.
Il a révélé que sept États devaient à l'origine bénéficier de ce projet.
Le nombre des États bénéficiaires a dû être augmenté par le gouvernement fédéral face à la demande de mesures de contrôle de l’érosion des autres États.
Les sept États prévus à l'origine pour ce projet étaient ceux d'Abia, d'Anambra, d'Enugu, d'Imo, d'Ebonyi, d'Edo et de Cross River.
Suite aux réclamations, deux autres projets de contrôle de l’érosion ont été attribués aux régions nord et sud-ouest du pays.
Ce prêt a été approuvé et le gouvernement pourra y accéder pour permettre la mise en oeuvre du projet, a indiqué M. Oshikoya.
Les États ont produit différents plans que le gouvernement fédéral évaluera et étudiera pour les mettre en oeuvre.
Toutes les approches susceptibles de faire de ce projet une entreprise durable seront étudiées et des professionnels de niveau international seront employés pour l'exécution de ce projet, a déclaré M. Oshikoya.
