Le leader de Convergence socialiste qui avait écopé de deux ans de prison ferme en première instance pour "outrage à magistrat et menaces de mort" contre les juges du Conseil constitutionnel, devrait recouvrer la liberté le 15 février prochain.
M. Seck, responsable d'un mouvement affilié au Parti socialiste (PS, opposition) avait adressé en octobre une lettre au président du Conseil constitutionnel l'invitant à invalider la candidature du président Abdoulaye Wade à l'élection présidentielle prévue en février 2012.
Le PS a annoncé vendredi la préparation d'un plan d'action pour le mois de janvier pour la libération de M. Seck et de Barthélémy Dias, un autre responsable des jeunesses socialiste, poursuivi pour le meurtre d'un nervi membre d'un groupe qui avait attaqué la mairie qu'il dirige.