Le don servira à appuyer la mise en œuvre du Projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT) financé par plusieurs fonds fiduciaires.
Il s'agit notamment le Fonds pour l'environnement mondial qui intervient avec 5,4 millions de dollars, le Fonds d'adaptation aux changements climatiques des pays les moins avancés avec 3,7 millions de dollars, la Facilité mondiale pour la réduction des risques de catastrophes et la relance avec 7,2 millions de dollars, et TerrAfrica avec 500.000 dollars.
Le Projet "vise principalement à renforcer les capacités institutionnelles des institutions ciblées à gérer les risques d'inondation et de dégradation des terres dans des zones rurales et urbaines qui sont les plus vulnérables à ces deux phénomènes au Togo", précise un communiqué de la Banque mondiale.
Il "cadre parfaitement avec la Stratégie de réduction de la pauvreté du gouvernement togolais", selon le communiqué.
Selon la Banque mondiale, le PGICT s'aligne aussi sur sa Note de Stratégie Intérimaire pour le Togo et sur sa stratégie pour l'Afrique qui vise, notamment, à renforcer la résilience des pays face aux effets des chocs dont les catastrophes naturelles.
L'adoption de ce don intervient pendant que le gouvernement togolais peaufine la deuxième version de son Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP II) qui inclut dans les priorités sur la période 2012-2013 les questions de changement climatique.
