Selon les informations, lors de sa visite dans ce pays africain, la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a signé mardi dernier cet accord-cadre avec le secrétaire d’Etat pour les relations extérieures de la République d' Angola, Manuel Domingos Augusto.
Au cours de la cérémonie de signature, la directrice générale de l’Unesco a souligné que cet accord-cadre représentait un mécanisme novateur de financement de projets alimenté exclusivement par les autorités nationales et signé avec un pays africain. Elle a souhaité que cet exemple puisse être rapidement suivi par d’autres Etats membres de l’Unesco.
Pour sa part, le secrétaire d' Etat de l' Angola a mis l' accent sur le fait que son pays prenant son destin en main et cherchant à consolider la paix par le biais d' investissements dans les domaines éducatifs, scientifiques et sociaux compte sur l' Unesco pour l' accompagner dans l' élaboration et la mise en œuvre de ses politiques publiques et la gestion des transformations en cours.
L’accord-cadre signé entre L’Unesco et l’Angola couvre une période de quatre ans renouvelable. Un comité de pilotage conjoint déterminera annuellement les priorités, et assurera le suivi des projets, selon les mêmes sources.
