La Fédération nigérienne de luttes révise ses textes fondamentaux

Afriquinfos Editeur
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Pour le secrétaire général-adjoint du ministère des Sports et de la Culture, M. Isaac Amos, cette révision des textes fondamentaux de la Féni-luttes, vise à dynamiser cette fédération, à la tête de laquelle se trouve un comité national de gestion.

Les participants à la réunion de Tahoua ont, en outre, fait plusieurs recommandations, notamment aux collectivités territoriales, aux futures instances de la Féni-luttes, de prendre des dispositions rigoureuses dans le choix des lutteurs, pour que ceux-ci soient forcément de nationalité nigérienne.

Ils ont par ailleurs exigé l'entretien des arènes des jeux traditionnels, construites à grands frais et laissées en jachères à l'intérieur du pays.

Après avoir rendu un hommage à tous les anciens lutteurs nigériens, la réunion de validation des textes de la Féni-luttes a lance un appel au Ministère de tutelle pour la vulgarisation des textes amendés, dans toutes les langues nationales.

C'était à Tahoua que fut lancé en 1975, le premier championnat nigérien de lutte traditionnelle et depuis lors, cette discipline ne cesse de s'imposer, devenant ainsi le sport roi au Niger.

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