Cet argent, qui représente un des investissements les plus importants jamais réalisés dans la culture transgénique au Royaume-Uni, sera utilisé pour permettre la culture du maïs, du riz et du blé sans avoir recours à des fertilisants. Cet investissement intervient au moment où les scientifiques tentent d’atténuer les peurs du public au sujet des cultures transgéniques. Les scientifiques veulent développer des cultures qui pourront absorber le nitrogène de l’air, comme les haricots, au lieu d’utiliser des engrais chimiques qui contribuent au réchauffement climatique. L’objectif principal est donc d’aider les fermiers pauvres des pays d’Afrique subsaharienne.
Cependant, les opposants aux cultures transgéniques affirment que ce projet n’apportera des résultats que dans plusieurs décennies et que le problème de la faim dans le monde pourrait être réglé par l’amélioration des canaux de distribution et la réduction du gaspillage.
