M. Rasmussen a annoncé que l’OTAN « aimerait voir l’ONU diriger les efforts pour aider le peuple libyen à réussir la transition vers la démocratie », car il ne devrait pas avoir de vacance de sécurité pendant cette période-là.
Il a indiqué que le conflit libyen doit être réglé par les voies à la fois politique et militaire, réitérant que le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi n’avait pas d’autre choix que de partir.
En même temps, M. Rasmussen a fait savoir que la Russie et l’OTAN avaient consenti de reporter l’accord final sur le bouclier anti-missile en Europe proposé par les Etats-Unis jusqu’au Sommets de l’OTAN et du G8 prévus le mois de mai 2012 à Chicago.
Il a également tenté d’apaiser les préoccupations russes sur la militarisation de l’Arctique, notant que l’OTAN n’avait pas l’intention de déployer ses forces dans la région au nord du cercle polaire.