"Nous sommes dans un pays où l'eau manque et où il y a des tremblements de terre. Il faut étudier les possibilités de les exploiter d'une manière sûre pour la population et pour le pays", a fait savoir le ministre sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, sans toutefois exclure la possibilité de faire appel à l'énergie nucléaire.
"Après la catastrophe de Fukushima, au Japon, tous les centres de recherche au monde sont focalisés sur la sécurité nucléaire", a? t?il fait remarquer.
Le ministre a mis l'accent sur la nécessité de développer toutes les formes d'énergie pour répondre aux futurs besoins énergétiques du pays, évoquant entre autre les gaz non conventionnels, dont le schiste.
"Nous sommes en train d'évaluer nos disponibilités. Les premières études montrent qu'ils sont considérables", a-t-il noté.
Le ministre a révélé des investissements de 6 000 milliards de dinars (80 milliards de dollars) dans le secteur des hydrocarbures durant les cinq prochaines années.