Le responsable du FMI est venu toucher du doigt l’état d’avancement des programmes financés par son institution et les autres partenaires. Au cours des différents entretiens, la partie burundaise a mis en exergue les « bons » résultats obtenus ces dernières années. Elle a cité en exemple de l’Office Burundais des Recettes (OBR). Elle a fait état de « transparence » dans la gestion de la chose publique et de « lutte contre les détournements et la corruption ».
Face à la hausse des prix des denrées alimentaires, le gouvernement burundais a pris la décision de baisser ou de supprimer les taxes sur les produits importés afin d’alléger le fardeau de la population. Avec les répercussions que l’on peut imaginer sur les recettes du Trésor public et le financement des projets de développement. Moeketsi Majoro, qui est natif du Lesotho, a promis de continuer à plaider la cause du Burundi auprès du FMI.
